A la nuit tombée, une drôle de faune apparaît.
Sur les murs ou pignons aveugles, sur les façades et devantures de la ville, une collection d’animaux se déploie.
Un bestiaire urbain qui fait écho aux différentes ambiances identifiées pour le plan lumière de la ville, décliné en trois thématiques : la ville, la forêt et l’eau.
Hors d’échelle, communs ou plus rares, les animaux jouent avec les façades, l’architecture et l’espace public. Ils s’appuient sur une cornière de fenêtre, s’accrochent à la toiture, sautent sur un rebord…Des postures en action pour les rendre vivants et dynamiques.
Ils viennent habiter la ville pour dialoguer avec les citoyens au quotidien, recréant du lien entre les quartiers par une approche poétique : le quartier de la forêt, le monde aquatique ou de la ville.
Le lien avec le quartier est symbolisé par la catégorie d’animaux, ils deviennent presque des citadins, une sorte de “mascotte”, un point de rendez-vous.
Une collection d’animaux qui se décline, un écureuil, un lapin, un escargot, une rouge gorge, un renard… Un clin d’œil à la nécessaire biodiversité urbaine, riche de tous ses habitants.